~ La mémoire humaine ~
La mémoire humaine a-t-elle une limite ?
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Bienvenue sur le site de notre TPE, réalisé par Emma B., Honorine D. et Léonie D., élèves de 1ère S au lycée Blaise Pascal de Longuenesse en 2015/2016. Bonne visite !

 

III) Mémoire humaine versus mémoire informatique

          À une époque moderne, la mémoire informatique, pratique et accessible instantanément, est présente partout autour de nous, prête à prendre le relais à notre place. Entre ordinateur, appareil photographique, portable, calculette, internet… nous ne savons plus où donner de la tête. En déléguant une partie de sa mémoire à l'ordinateur, l'Homme se transforme : il gagne en puissance de stockage d'informations d'un côté, il oublie des gestes de l'autre, comme celui d'écrire à la main ou de poser une division. Les usages de la mémoire biologique de l'Homme se transforment. Existe-t-il des points communs et/ou différences entre la mémoire humaine et celle de l’ordinateur ? Aveux et confidences…

1) La mémoire informatique : une histoire récente

          Avec le temps, la mémoire informatique s’est perfectionnée et est devenue de plus en plus miniature, s’adaptant parfaitement à notre environnement. En informatique, le stockage d'information est l'enregistrement de l'information sur un support matériel pour sa réutilisation future.
          Les supports de mémoire des ordinateurs ont une histoire, aussi ancienne que celle de l’informatique. Les premières mémoires informatiques ont utilisé la technique des cartes perforées puis celles des relais électromagnétiques. Elles étaient très volumineuses et de faible capacité. Aujourd’hui, une clé USB de 8 Go contient autant de mémoire qu’une armoire de bureau dans les années 1950.
     L’évolution des mémoires informatiques tend à la miniaturisation, à l’augmentation des capacités et à l’accroissement des vitesses d’accès. L’échauffement et la consommation d’énergie deviennent des critères importants pour sélectionner les technologies. Avec la technologie des ‘’nuages’’ (appelée le Cloud), le stockage des données ne se fait plus en local.
         Le stockage d'information répond à trois besoins, non exclusifs les uns des autres : conserver l'information en lieu sûr pour répondre à une contrainte légale ou conventionnelle (archivage des données), rendre l'information disponible, réutiliser l'information (traitement des données).
          Le mot d'ordre des techniques de stockage est : plus de capacité, plus vite, plus fiable, et moins cher. C'est pourquoi les types de médias sont variés et ont souvent évolué. La compatibilité entre les mémoires qui se succèdent dans le temps devient un problème. Au-delà des dégradations physiques du support (la rayure d’un CD par exemple), les données peuvent être ‘’perdues’’ parce que les appareils ou les logiciels qui savent les lire ont disparu.
 
 



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